« Un roman qui prouve que le roman peut être une arme » (Arnaud Viviant, Le Masque et la plume, France Inter)
« Dufresne instille une énergie remarquable à ce (premier) roman qui veut croire encore à une portée politique de la littérature » (Raphaelle Leyris, Le Monde)
« Puissance de la fiction » (Lundi Matin)
« Le roman le plus furieusement politique de ces derniers mois » (Christine Marcandier, Diacritik)
« Un opus fiévreux et glaçant, écrit en état d’urgence et au plus près de la barricade » (Richard Sénéjoux, Télérama)
« Un roman très politique, gonzo, à fleur de peau et à fleur d’Histoire, un livre électrique » (Léa Salamé, France Inter)
« Une pure réussite. » (Fabrice Arfi, Médiapart)
« Avec ce premier roman, écrit au plus près des événements, David Dufresne impose une plume, un regard, et une lecture de l’histoire française contemporaine qui agit à la manière d’un antidote au récit dominant. » (Nicolas Julliard, Radio Télé Suisse)
« Un champ / contre-champ magique » (Denis Robert, Le Média)
« Une lecture captivante et dérangeante » (Le Devoir)
« Violemment crédible, le tableau se fait fresque (...) Dans le mille ! » (Emilien Bernard, Canard Enchaîné)
« Un ovni littéraire à l’écriture fluide mêlant habilement auto-fiction, documentaire, essai et polar, se dévore d’une traite » (Laure Narlian, France TV Info)
« Dufresne a procédé en conglomérant plusieurs épisodes, ce qui produit non pas du faux, mais de la fiction, non pas du vrai, mais du plus que vrai » (Revue Charles)
« Avec ce livre, David Dufresne ajoute quelques lettres, crues et magnifiques, malgré le déni politique et le silence des médias, à notre Histoire populaire. » (Tristan Goldbronn, Radio Parleur, Radio Parleur)
« un véritable roman d’action à vocation historique. » (RFI)
« Politique au sens noble du terme, Dernière sommation rejoint Qui a tué mon père d’Edouard Louis, en prenant le parti de nommer dans une œuvre littéraire les responsables politiques aux affaires » (Mathieu Déjean, Les Inrocks)
« Quand un événement politique inattendu résonne avec de l’intime, sonne l’alarme du besoin de l’écrire, ou de l’écrire autrement. » (Pierre Benetti, En attendant Nadeau)
« Un livre qui brûle les doigts » (Radio Nova)
« Dufresne entre en littérature pour dire qu’il y a quelque chose de pourri au Royaume de France avec deux cents pages embarrassantes pour le pouvoir » (Anne Crignon, Nouvel Observateur)
« Précis, clinique, David Dufresne écrit au scalpel, à la manière d’un Ellroy dans sa trilogie Underworld USA. Rien n’est emphatique ou superflu. » (Positions)
« Une fiction dystopique à l’intrigue haletante » (Nouveau Magazine Littéraire)