Cette évolution est liée à la « reprise de l’activité des services en matière de prévention de la criminalité et de la délinquance organisées », estime le texte. Et ce, même si la prévention du terrorisme représente quasiment la moitié des demandes de surveillance émises par les services à la commission. « On note un sentiment de besoin de renseignement » face à l’effet conjugué des tensions internationales, de la « sophistication de la criminalité organisée » et d’une « violence sociale latente », a estimé le président de la commission, Serge Lasvignes.
En savoir plus : Ecoutes, géolocalisation, algorithmes... L’an passé, près de 23 000 personnes ont été surveillées à l’aide d’outils techniques en France