LIBÉRATION, « Un cabaret survolté », Claire Devarrieux (20 sept. 2017) :
« On chine, on cherche, on trouve, on transmet. » Ecrivain et ferrailleur, même devise. La nostalgie que pratique David Dufresne est une nostalgie active, ouverte sur l’avenir. Lorsque les excavatrices entrent dans la danse, en 2004, une dizaine d’années après la fermeture du New Moon, il filme la démolition avec une petite caméra numérique. C’est un chasseur de ruines. Mais son projet est tout sauf mortifère (...) Le New Moon incarne un refus de se plier aux injonctions de l’époque. Trente ans plus tard, faute de guerres qui auraient entraîné des récits d’anciens combattants, comme aux générations précédentes, cet état d’esprit, cet idéal, est le patrimoine que l’auteur entretient.
LE MONDE, « La nuit mode d’emploi », Denis Cosnard (21 sept. 2017)
« Le résultat est assez sidérant. Une sorte de Vie mode d’emploi à Pigalle, version Destroy. Comme George Perec, Dufresne explore chapitre après chapitre les différentes pièces de son bâtiment et leur passé (...) Ce parcours en zigzag a de quoi donner un léger vertige, comme après une nuit blanche à trop danser. Vertige surtout de découvrir autant d’histoires empilées en un si petit endroit »
Laurent Chalumeau, 30 mars 2020
« En matière de rock et de jeunesse, quand la mémoire est plus belle que la réalité, on imprime la mémoire. Et celle que réactive Dufresne est magique. »
MARIANNE, « Punk mode d’emploi », Frédéric Bas (13 oct. 2017)
« Si Virginie Despentes a bâti, avec Vernon Subutex, la cathédrale romanesque des années Punk, le livre de David Dufresne en est le chantier à ciel ouvert. Un magnifique terrain de fouilles no future. »
LE MASQUE ET LA PLUME (24 décembre 2017)
« Un récit enquête ultra gonzo »
FRANCE CULTURE, « En 120 ans, le « New Moon » a eu énormément de vies : QG des impressionnistes, club de jazz, cabaret lesbien… », Tewfik Hakem (30 oct. 2017)
« Ce n’est pas une fiction mais le roman d’un lieu et de plusieurs époques aujourd’hui révolues (...) une enquête aussi minutieuse que poétique. »
TÉLÉRAMA, Laurent Rigoulet, 20 décembre 2017
« Un récit enivrant. »
NOUVEL OBS, « Mais qui a tué Pigalle ? », Elisabeth Lévy, (9 nov. 2017)
« En retraçant l’épopée du New Moon, David Dufresne autopsie l’idéal noctambule et libertaire de Pigalle. »
L’AUTRE QUOTIDIEN, « David Dufresne s’est éveillé avec la Nouvelle Lune », Jean-Pierre Simard (3 oct. 2017)
« En s’y prenant comme Nik Cohn dans Broadway, la grande voie blanche, son sujet fait florès et devient ville, monde et rejoint l’Histoire (...) Grand livre ! »
ROCK & FOLK, Agnès Léglise, Novembre 2017.
« Dufresne a construit un monument, un tombeau comme les composaient les musiciens du 17e siècle, un hommage, mais un hommage à Paris, à ce Paris populaire, au petit peuple parisien »
LE MONDE DIPLOMATIQUE, « Enquêtes au long cours de Pigalle à Tokyo », Jean Stern, Novembre 2017)
« Dufresne brosse un portrait intime et délicat de ce haut lieu du désordre, de ses recoins, et plus largement d’un Pigalle tout autant quartier de perdition que d’intégration. »
RADIO NOVA : (Nova Club, 10 oct. 17) :
« Après une enquête studieuse, mêlée de souvenirs personnels, l’écrivain nous raconte comment le rock vivait dans un cabaret de Pigalle en 1986. Un cabaret qui illustre la scission entre deux époques : celle de l’utopie et des rêves, face à celle qui a vu naître le sida, le marketing et les vices de notre société actuelle. »
MOUVEMENT, Fanny Taillandier (oct. 2017)
« Le nouveau livre de David Dufresne érige le punk en méthode de travail. »
FRANCE INTER, Antoine de Caunes (12 sept. 17) :
« Remarquable »
RADIO NOVA : (La Matinale, 12 sept. 17) :
« À placer sur son étagère à côté de Tarnac, magasin général, l’ouvrage culte de Dufresne »
DIG IT, Alain Feydri (oct. 2017)
« Remarquable travail, sa lecture est un régal. Une étourdissante contre-plongée ! »
LA PRESSE+, « Paris Trouble », Mario Cloutier (6 novembre 2017)
« Un livre de maturité et de maturation. »
24H,« Dans la lumière morte du New Moon, tout Pigalle revient à la vie », François Barras (12 oct. 17)
« Jouant à saute-mouton avec ses souvenirs et les époques, Dufresne écrit bien plus que l’histoire d’un « café de nuit joyeux ». Il agit en sous-marinier, en archiviste et peint un tableau d’un siècle de belle crapulerie. »
BRAIN MAGAZINE, « Dans les années 80, Pigalle ce n’était pas tout à fait Paris, c’était un quartier régi par d’autres lois », Sara Bourg, 17 octobre 2017
« Un hommage punk à Pigalle et à ses habitants, un appel à la résistance et un cri d’amour pour une époque révolue, sans nostalgie, parce que « la nostalgie, c’est mortifère »
DAILYNEUVIEME, « Punk et destroy : Pigalle revit au New Moon », Clara Robert-Motta, (novembre 2017)
« Un roman vrai ou du vrai romanesque, au choix. »
SUD OUEST, « Les lunes de Pigalle », Yves Harté, 3 déc. 2017
« Une fresque hypnotique »
OUEST FRANCE, « New Moon, cabaret électrique », Philippe Richard (10 octobre 2017)
« Une passionnante enquête sur Pigalle. »
LE PARISIEN, « quand Pigalle se la jouait rock », Pierre Vavasseur (5 octobre 2017)
« Notre livre du jour : la biographie d’un lieu hors du commun »
LIVRES HEBDO (30 juin 2017) :
« Une promenade urbaine et mélancolique. »
TÉLÉRAMA, « Plongée vaporeuse dans les dernières heures du Pigalle underground », Romain Janticou (7 oct. 2017)
« Quand j’arrivais à Pigalle, je baissais mes lunettes de myope, raconte David Dufresne, qui les a encore sur le nez. Pigalle floue était une merveille, on ne voyait que les néons qui dansaient. »